Les FNB passifs sont souvent critiqués. Certains observateurs (souvent des gestionnaires de fonds traditionnels actifs) affirment qu’ils mènent à une mauvaise évaluation des titres boursiers. D’autres ont soutenu qu’ils réduisent la compétition entre les sociétés, ce qui mènerait à un gonflement des prix à la consommation. Ces critiques ont culminé récemment lorsqu’un gestionnaire de fonds de couverture a prédit que les fonds passifs vont causer un effondrement des marchés semblable à la crise financière de 2008. Est-ce plausible? Ces affirmations sont-elles fondées? Les FNB sont-ils une menace à la stabilité des marchés? Et sont-ils dangereux pour leurs détenteurs?
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, James Parkyn et Raymond Kerzérho vous proposent une rencontre avec Erika Toth, directrice pour l’est du Canada avec BMO Fonds Négociables en Bourse. Erika partage sa connaissance approfondie des FNB, nous explique quels risques sont réels et lesquels ne le sont pas. Nous discuterons également de l’utilité des FNB pour contrôler le risque de portefeuille.
Fait saillants :
Liste des contrôles préalables applicables aux FNB (meilleures pratiques) :
Tableau de bord des FNB canadiens
https://www.bmoetfs.ca/fr/reports/
Rapport : Les FNB d’obligations sont-ils dangereux?
https://www.pwlcapital.com/fr/documents/les-fnb-dobligations-sont-ils-dangereux/
Dans un rapport publié récemment, la firme de recherche Morningstar présente les résultats d’un sondage sur les différences de perception à propos du conseil en placement. Alors que les clients se préoccupent d’abord et avant tout du rendement, les conseillers se concentrent davantage sur l’atteinte des objectifs du client. Par ailleurs, il existe des recherches sur la différence de richesse entre les investisseurs qui travaillent avec un conseiller et ceux qui travaillent seuls. Quels sont les différences de perception entre conseillers et investisseurs? Dans quelle mesure les gens qui travaillent avec un conseiller s’enrichissent-il davantage? Quelle la cause de cet enrichissement? Et quelle sont les différences entre un portefeuille géré par un conseiller compétent et celui d’un investisseur autonome?
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, James Parkyn, François Doyon La Rochelle et
Raymond Kerzérho vous proposent une conversation à propos de la différence que peut faire un conseiller en placement pour l’investisseur.
Fait saillants :
Étude du CIRANO dirigée par Claude Montmarquette et Nathalie Viennot-Briot