Les fonds à gestion passive augmentent leurs parts de marché et bousculent l’ordre établi dans les marchés financiers. Ces gains se font clairement aux dépens des fonds à gestions active – qui perdent du terrain constamment depuis la crise financière de 2008. Il ne faut donc pas se surprendre que de nombreux détracteurs « avertissent » le public contre les soi-disant dangers des fonds à gestion passive. Vanguard Canada a publié, sous la plume du stratège Todd Schlanger, un rapport étoffé à propos des mythes qui sont véhiculés à propos de la gestion passive.
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, François Doyon La Rochelle, James Parkyn et Raymond Kerzérho échangent leur perspective sur ce sujet.
Fait saillants :
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Les taux sur les obligations, après une hausse importante qui a suivie l’élection du président Trump, sont repartis à la baisse depuis l’été de 2018. Pendant ce temps, les obligations de plusieurs gouvernements européens offrent des taux négatifs. Comment expliquer que les taux d’intérêt soient devenus si bas? Des taux négatifs sont-ils possibles pour le Canada? Et quel est l’impact des très faibles taux d’intérêt pour les investisseurs et les emprunteurs?
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, François Doyon La Rochelle, James Parkyn et Raymond Kerzérho partagent leur perspective sur les taux d’intérêt.
Les FNB passifs sont souvent critiqués. Certains observateurs (souvent des gestionnaires de fonds traditionnels actifs) affirment qu’ils mènent à une mauvaise évaluation des titres boursiers. D’autres ont soutenu qu’ils réduisent la compétition entre les sociétés, ce qui mènerait à un gonflement des prix à la consommation. Ces critiques ont culminé récemment lorsqu’un gestionnaire de fonds de couverture a prédit que les fonds passifs vont causer un effondrement des marchés semblable à la crise financière de 2008. Est-ce plausible? Ces affirmations sont-elles fondées? Les FNB sont-ils une menace à la stabilité des marchés? Et sont-ils dangereux pour leurs détenteurs?
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, James Parkyn et Raymond Kerzérho vous proposent une rencontre avec Erika Toth, directrice pour l’est du Canada avec BMO Fonds Négociables en Bourse. Erika partage sa connaissance approfondie des FNB, nous explique quels risques sont réels et lesquels ne le sont pas. Nous discuterons également de l’utilité des FNB pour contrôler le risque de portefeuille.
Fait saillants :
Liste des contrôles préalables applicables aux FNB (meilleures pratiques) :
Tableau de bord des FNB canadiens
https://www.bmoetfs.ca/fr/reports/
Rapport : Les FNB d’obligations sont-ils dangereux?
https://www.pwlcapital.com/fr/documents/les-fnb-dobligations-sont-ils-dangereux/
Dans un rapport publié récemment, la firme de recherche Morningstar présente les résultats d’un sondage sur les différences de perception à propos du conseil en placement. Alors que les clients se préoccupent d’abord et avant tout du rendement, les conseillers se concentrent davantage sur l’atteinte des objectifs du client. Par ailleurs, il existe des recherches sur la différence de richesse entre les investisseurs qui travaillent avec un conseiller et ceux qui travaillent seuls. Quels sont les différences de perception entre conseillers et investisseurs? Dans quelle mesure les gens qui travaillent avec un conseiller s’enrichissent-il davantage? Quelle la cause de cet enrichissement? Et quelle sont les différences entre un portefeuille géré par un conseiller compétent et celui d’un investisseur autonome?
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, James Parkyn, François Doyon La Rochelle et
Raymond Kerzérho vous proposent une conversation à propos de la différence que peut faire un conseiller en placement pour l’investisseur.
Fait saillants :
Étude du CIRANO dirigée par Claude Montmarquette et Nathalie Viennot-Briot
Les fonds de dotations américains comptent parmi eux certaines des institutions les plus prestigieuses au monde. L’enfant chérit des fonds de dotation est le Yale Investment office, dont le rendement historique de près de 12% sur 20 ans (au 30 juin 2018) fait l’envie des investisseurs à travers la planète. Toutefois, même Yale a ralenti considérablement, avec un rendement de seulement 7,4% sur 10 ans.
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, James Parkyn, François Doyon La Rochelle et Raymond Kerzérho vous proposent un tour d’horizon et les grandes conclusions de plusieurs études à propos des fonds de dotation.
Quelques points discutés :
Rapport annuel Yale Investment office
L’office d’investissement du Régime de Pension du Canada, un titan de la finance canadienne avec son actif de $400 milliards, a adopté la gestion active de portefeuille en 2006. Le Directeur Parlementaire du Budget a récemment déposé un rapport qui conclut que cette gestion active a produit une prime de rendement de 1,2 %, ce équivaudrait à une valeur ajoutée de $48 milliards sur 13 ans.
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, James Parkyn et Raymond Kerzérho discutent du rapport du DPB, du dernier rapport annuel du Régime de Pension du Canada, de la valeur ajoutée par la gestion active de l’OIRPC et de ce qu’on peut en conclure pour les investisseurs individuels.
Quelques points discutés :
Le rapport de performance de votre portefeuille joue un rôle critique dans votre cheminement vers l’indépendance financière. Ce rapport s’arrime à votre politique de placement et aux rencontres avec le gestionnaire de portefeuille pour créer un cycle de reddition de comptes. Idéalement, ce cycle est accompagné d’une planification financière qui assure que la gestion du portefeuille est suffisamment rentable par rapport à l’atteinte de vos objectifs financiers à long terme.
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, James Parkyn et Raymond Kerzérho discutent du rapport de performance, de son contenu et de son rôle dans la poursuite de vos objectifs. Nous discutons aussi des rendements des principales catégories d’actif en date du 30 juin 2019.
Quelques points discutés :
La gestion de portefeuille passive soulève des objections. Ces dernières sont souvent émises par des gens qui sont en conflit d’intérêt (des gestionnaires qui proposent l’approche active). Par contre, il arrive que les commentaires proviennent d’organisations qui jouissent d’une grande crédibilité.
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, François Doyon La Rochelle, James Parkyn et Raymond Kerzérho discutent des objections auxquelles font face les fonds dits « passifs » ou encore « indiciels ».
Quelques points discutés :
La courbe de rendement décrit les taux des obligations pour différentes échéances. Alors qu’en temps normal, cette courbe affiche une pente positive (c’est-à-dire que plus l’échéance est éloignée, plus le taux est élevé) la plupart du temps, les marchés affichent présentement une forme inversée (les taux courts sont plus élevés que les taux longs), ce qui est exceptionnel et inquiète certains observateurs.
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, François Doyon La Rochelle, James Parkyn et Raymond Kerzérho discutent l’inversion de la courbe de rendement et de ce que cela pourrait signifier pour les portefeuilles de placements.
Quelques points discutés :
L’institut canadien des actuaires a publié récemment un rapport recommandant des changements au système canadien de retraite. Ces changements visent à la fois à prendre en considération l’augmentation de l’espérance de vie de la population et à pallier à la pénurie de main d’oeuvre qui sévit à travers le Canada.
Dans ce nouvel épisode de l’Investissement Décomplexé, François Doyon La Rochelle, James Parkyn et Raymond Kerzérho discutent de ces recommandations, qui auraient avoir un profond impact sur les conditions de départs à la retraite et le niveau de vie à la retraite.
Quelques points discutés :